Après de nombreuses remarques de la part de plusieurs, j'en suis venue à l'évidence que j'ai oublié de vous reparler du specimen d'une précédente chronique. Et bien, je n'en ai pas reparlé parce qu'en fait, il n'y en a pas grand chose à dire finalement.
Je me doutais bien que lorsque nous avons une multitude de questions ainsi qu'une tendance à rationnaliser et analyser dans les moindres détails une rencontre, c'est que la magie n'est pas au rendez-vous. Et bien voilà. Le specimen du mois dernier est un specimen qui avait tout pour me plaire, c'est-à-dire quelqu'un de bien qui recherche une relation sérieuse, doté d'un physique qui m'attire, un travail qui lui permet de se réaliser, sportif dans l'âme, ayant un bon sens de l'humour, mais qu'est-ce que vous voulez, les papillons n'y étaient pas. D'y repenser me fait réaliser qu'il avait tout ce que je recherche chez un specimen sauf le plus important...la complicité. Nous avons passé deux soirées bien agréables mais ça n'a pas cliqué. Mon discours était davantage: "Je ne détesterais pas le revoir", que "J'aimerais vraiment le revoir"...ça veut tout dire. En plus, la vie ne peut pas être aussi simple...le premier spécimen à croiser ma route depuis mon retour sur le marché à titre d'agent libre ne peut tout de même pas être LE spécimen...ça aurait été bien trop facile...
2 commentaires:
Au moins il ne t'a pas découragé des autres spécimens!
Non du tout, comme c'est quelqu'un de bien, au contraire ça m'encourage, y en a sur la marché...la chasse est ouverte! :)
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